SALTO: Bouygues Telecom se retourne contre TF1, M6 et France Television
Suite à la liquidation de SALTO en mars dernier, et en tant qu’opérateur distribuant le service, Bouygues Telecom exige des dommages et intérêts de la part des actionnaires de la plateforme, y compris de TF1, qui fait également parti du groupe Bouygues. La source du litige est l’intégration de SALTO pendant 6 mois pour tout abonnement à l’offre internet de BOUYGUES TELECOM. Selon L’Informé, les simulations effectuées par l’opérateur approchent les 5 millions d’euros. Une demande qui ne passe pas auprès de France TV et du groupe M6.
La décision finale revient au mandataire judiciaire de Salto, qui doit déjà gérer le remboursement des clients et la gestion des contrats entre les trois actionnaires. Les chances que Bouygues Telecom reçoive les dommages qu’il demande sont minces.
Autre ultimatum, celui de TWITTER qui veut vendre 42K $ l’accès à ses datas aux universitaires.
Les chercheurs universitaires ont reçu un mail leur signifiant qu’ils avait jusqu’à la fin du mois pour supprimer les données obtenues grâce à des contrats historiques d’étude de Twitter, à moins qu’ils ne souscrivent à un nouveau contrat coûtant 42 000 dollars par mois. Certains ont qualifié cette demande de « l’équivalent de la destruction de livres pour les big data ».
Pendant des années, Twitter a accordé un accès aux chercheurs universitaires à un service appelé le « decahose » – un échantillon aléatoire de 10% de tous les tweets diffusés en continu sur Twitter. Le decahose, dont l’accès était négocié via l’interface de programmation d’application (API) de Twitter, était un outil spécial conçu pour permettre aux chercheurs de surveiller les conversations sur la plateforme de médias sociaux.
J-4 pour déposer vos canditures au FRENCHWEB 500 2023
Enfin je profite de cette newsletter pour rappeler qu’il reste 4 jours pour enregistrer la candidature de votre entreprise dans le FRENCHWEB 500 , n’hésitez plus, ou faites remonter l’info, la cloture est le 30 mai minuit.
A LIRE:
LA STARTUP A SUIVRE:
Connaissez vous ONEFLOW, la solution suédoise qui simplifie la gestion des contrats?
La gestion des contrats se complexifie et peut s’avérer fastidieuse et chronophage pour de nombreuses entreprises. La création, la rédaction et la signature de documents peuvent prendre beaucoup de temps et entraîner des coûts supplémentaires inutiles. C’est le problème qu’adresse la société suédoise Oneflow, qui a mis en place une solution d’automatisation des processus contractuels.
Pour en parler, nous avons reçu Alexia Busser, Marketing Manager France chez Oneflow
LEVEES DE FONDS avec le soutien de JUNTO, spécialiste de la performance média.
LEVEES DE FONDS A L’ETRANGER:
TOOLS FOR HUMANITY, cofondée par Sam Altman pour développer Worldcoin, a réussi à lever 115 millions de dollars lors d’une levée de fonds de série C. Le financement a été dirigé par Blockchain Capital, une société de capital-risque renommée dans le domaine de la blockchain et des cryptomonnaies. L’objectif ambitieux de Tools for Humanity est de développer un projet appelé Worldcoin, qui vise à révolutionner les systèmes d’identification en scannant et en stockant les données oculaires de chaque individu.
La société canadienne BENCHSCI qui utilise l’intelligence artificielle pour aider les entreprises pharmaceutiques à accélérer la découverte de médicaments, a levé 95 millions de dollars canadiens lors d’une série D de financement dirigée par Generation Investment Management.
BenchSci s’est fait un nom dans le domaine de la recherche pharmaceutique en appliquant des algorithmes d’intelligence artificielle avancés pour analyser et interpréter de vastes ensembles de données scientifiques. Leur plateforme aide les chercheurs à identifier plus rapidement les anticorps, les réactifs et d’autres outils essentiels pour leurs expériences. Cette approche innovante permet de rationaliser le processus de découverte de médicaments et d’accélérer les délais de recherche.
FW MARKET
Faute d’acheteur, le fonds d’investissement britannique Towerbrook à conserver en portefeuille Infopro Digital (LSA, L’Usine Nouvelle, Companeo, …)
Le Groupe CMA CGM a soumis une promesse d’achat pour acquérir la totalité du capital du Groupe HIMA, propriétaire du journal La Tribune. Le virage vers le numérique a été réussi pour La Tribune, qui est devenu le premier média économique exclusivement en ligne. En plus de sa plateforme digitale, La Tribune organise plus de 40 événements annuels en France et s’étend à l’international avec La Tribune Afrique, lancée au Maroc en 2017. La Tribune a enregistré la plus forte progression d’audience entre 2021 et 2022 parmi les médias d’information numérique, avec une augmentation de 37% pour atteindre 86,5 millions de visites. En 2022, son chiffre d’affaires s’est élevé à 12 millions d’euros et l’entreprise affiche des résultats financiers rentables.
Après le rachat de La Provence et Corse Matin, et l’acquisition d’une part minoritaire du groupe M6, le Groupe CMA CGM est également devenu actionnaire du média en ligne Brut début avril.
Le fabricant de produits électronique chinois XIAOMI a annoncé ses résultats financiers pour le 1er trimestre 2023, mettant en évidence une solide performance économique. En termes de chiffre d’affaires, Xiaomi a enregistré un montant de 59,5 milliards de RMB, ce qui équivaut à environ 7,5 milliards d’euros. De plus, le bénéfice net ajusté de l’entreprise a atteint 3,2 milliards de RMB, soit environ 400 millions d’euros, ce qui représente une augmentation remarquable de 13,1 % par rapport à l’année précédente.
Xiaomi a consolidé sa position sur le marché mondial des smartphones, se classant troisième en termes de parts de marché. Avec une base d’utilisateurs de 594,8 millions, l’entreprise continue d’attirer un grand nombre de clients. De plus, le nombre d’utilisateurs mensuels actifs (MAU) de l’interface MIUI de Xiaomi, basée sur Android, a connu une croissance de 12,4 % par rapport à l’année précédente, atteignant 146,2 millions d’utilisateurs dans le monde et 12,4 millions en Chine continentale.
Outre sa forte présence sur le marché des smartphones, Xiaomi a également réalisé des progrès significatifs dans le domaine de l’AIoT (Intelligence Artificielle des Objets). Les appareils connectés AIoT de l’entreprise ont connu une croissance notable de 29,2 % par rapport à l’année précédente, démontrant le succès de Xiaomi dans l’intégration des technologies intelligentes dans différents produits. De plus, la plateforme AIoT de Xiaomi a attiré une base d’utilisateurs considérable de 12,3 millions.
UIPATH une société de logiciels d’automatisation d’entreprise, a annoncé aujourd’hui les résultats financiers de son premier trimestre fiscal 2024, clos le 30 avril 2023, une leçon pour tout entrepreneur dans le SaaS, et l’édition logiciel
Le chiffre d’affaires de l’entreprise s’est élevé à 289,6 millions de dollars, enregistrant une augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente.
Le revenu annuel récurrent (ARR) a atteint 1,249 milliard de dollars, ce qui représente une augmentation significative de 28 % par rapport à l’année précédente. L’ARR est un indicateur clé de la stabilité et de la prévisibilité des revenus d’une entreprise, ce qui montre que iPath a su fidéliser ses clients existants tout en attirant de nouveaux clients. Le nouvel ARR net de 45,0 millions de dollars indique la valeur ajoutée des nouveaux contrats signés au cours du trimestre. Cela reflète la capacité de l’entreprise à étendre son empreinte sur le marché et à générer de nouvelles opportunités d’affaires.
Le taux de rétention net basé sur le dollar de 122 % souligne la capacité d’iPath à maintenir ses clients existants tout en augmentant leurs dépenses avec l’entreprise. Un taux de rétention élevé est un indicateur positif de la satisfaction des clients et de la valeur que les solutions d’iPath apportent à leurs activités.
La marge brute GAAP de 85 % et la marge brute non-GAAP de 87 % indiquent la rentabilité de l’entreprise. Ces marges élevées témoignent de l’efficacité des opérations et de la capacité d’iPath à générer des revenus tout en contrôlant ses coûts.
MOUVEMENTS
BON ANNIVERSAIRE!
Samedi 27:
LES PRECEDENTS GOOD MORNING:
Vous pouvez écouter l’émission GOOD MORNING FRENCHWEB sur Apple Podcast, Spotify, Deezer. Si vous appréciez l’émission, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire, ou une note sur Apple Podcast.
Si vous souhaitez participer à l’émission Good Morning FrenchWeb, n’hésitez pas à nous contacter: redaction@decode.mediaL’article SALTO: Bouygues Telecom se retourne contre TF1, M6 et France Television est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
S’écorchant les genoux sur les chemins gratinés de l’enfance, explorant les pages jaunies des vieux atlas et rêvant adolescent de lointains horizons. Découvrant qu’il existe mille manières de mener sa barque sur les flots indociles de l’amour, se jetant corps et âme, dans toute histoire à vivre qui lui tendait les bras, au risque de s’égarer souvent dans des aventures sans lendemain. Avançant sans relâche, durant plus de trois décennies, sur les rives escarpées de l’entrepreneuriat, pour partir finalement à la découverte du vaste monde, mû par le vent portant de sa liberté retrouvée, avec comme seule boussole, la quête de sa raison d’être et de cette ivresse de vivre avec enthousiasme !
Nous recevons dans le Club ce bourlingueur qu’est Frédéric Pie
Listen to « FREDERIC PIE, le bourlingueur de l'entrepreneuriat tech. » on Spreaker.
Vous pouvez retrouver Le CLUB FRENCHWEB sur Apple Podcast, Spotify, et Deezer. Si vous appréciez l’émission, n’hésitez pas à nous laisser un petit commentaire, ou une note sur Apple Podcast.L’article FREDERIC PIE, le bourlingueur de l’entrepreneuriat tech. est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Depuis son lancement en 2018, Check & Visit s’est imposée comme une société de proptech innovante, spécialisée dans la collecte de données immobilières et l’optimisation de la gestion d’actifs. Grâce à sa technologie d’automatisation du processus d’état des lieux, la société connaît un succès croissant, offrant des avantages significatifs à toutes les parties prenantes, qu’il s’agisse d’agences et d’administrateurs de biens, de bailleurs sociaux, de foncières, de promoteurs ou de locataires.
La plateforme Check & Visit a pour objectif de numériser le secteur immobilier afin d’accélérer la transition énergétique de l’habitat. Elle facilite plusieurs aspects essentiels de la gestion d’un actif immobilier, tels que l’état des lieux certifié RGS (Référentiel Général de Sécurité) et assuré par AXA, la numérisation d’un bien immobilier en vue de sa commercialisation à travers des visites virtuelles, les diagnostics immobiliers obligatoires, la mise à l’habitation en accélérant le paiement du loyer et en réduisant la vacance, ainsi que la modélisation 3D permettant la création d’un jumeau numérique. Toutes ces fonctionnalités sont également accessibles via l’application CheckApp.
Actions préférentielles, Post-money valuation, Ratchet… Découvrez les nouveaux mots clés du capital risque dans notre lexique du capital investissementAvec une équipe de plus d’une centaine de collaborateurs et une présence sur tout le territoire français grâce à ses 350 « Checkers » indépendants, Check & Visit est en plein essor. Elle accompagne désormais plus de 400 entreprises et 1 500 professionnels de l’immobilier dans leurs activités quotidiennes.
La plateforme a déjà conquis plus de 400 clients, parmi lesquels on compte des agences immobilières, des bailleurs sociaux de renom tels que In’li, CDC Habitat et Aiguillon Construction du groupe Arcade Vyv, ainsi que des administrateurs de biens immobiliers renommés tels que Nexity, Altarea et des acteurs indépendants comme Thierry Immobilier ou Immobilière Pujol. Pour les quelque 1 500 professionnels de l’immobilier qui utilisent quotidiennement la plateforme en ligne développée par cette startup, il en résulte un gain de temps considérable.
Check & Visit annonce une série A de 12,5M€ auprès d’AXELEO CAPITAL, CAP HORN, EUROBIM et AMAVI. Dans un contexte complexe, la levé de fonds a été toutefois sursouscrite, et confirme la montée en puissance de la direction de l’entreprise et l’appétence des investisseurs pour des modèles de revenus solides
Pour en parler nous recevons Thibault Le Treut, co-fondateur et CEO de Check & Visit.
CHECk&vISIT Proptech spécialisée dans la collecte de données immobilières et l’optimisation de la gestion d’actifs Secteur d’activité Immobilier Année de création 2018 Fondateurs Thibault Le Treut, José Alonso Autres fondateurs non mentionnés dans le communiqué de presse Fonds levés Seed: 1,6 million d’euros, Serie A: 12,5 millions d’euros. Site web https://www.checkandvisit.com/ Effectif 88 collaborateurs Siège social Rennes, France Investisseurs Axeleo capital, Cap Horn, Eurobim, Amavi Équipe de direction – Thibault Le Treut (Co-fondateur et CEO), José Alonso (VP engineering), Sylvain Duchene (CTO), Benoît Houdemond (Head of customer services), Alexandre Mannone (Head of sales) For more informations (french or english) about SEKOIA or about >2000 french startups, contact us: startupscouting@frenchweb.fr
L'actualité des levées de fonds vous est présentée en partenariat avec Junto
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Square, une entreprise américaine fondée et dirigée par Jack Dorsey, le PDG de Twitter, s’est rapidement imposée comme un acteur majeur dans le domaine des paiements numériques. Depuis sa création en 2009, cette startup a conquis des millions de commerces, cafés et entreprises aux États-Unis et dans le monde entier grâce à sa boîte à outils de paiements connectés.
La plateforme proposée par Square offre aux retailers une gamme complète d’outils, comprenant un terminal de paiement physique, un logiciel de caisse, une analyse des ventes ou encore un répertoire client. Cette solution tout-en-un permet aux commerçants de gérer leurs transactions en personne dans un magasin physique, ou en ligne. Ainsi, Square fait concurrence aux terminaux de cartes de crédit traditionnels en offrant une structure de commissionnement compétitive.
Pour les retailers, Square propose une intégration fluide avec des plateformes d’e-commerce populaires, leur permettant ainsi d’accepter les paiements en ligne de manière sécurisée et pratique. De plus, Square offre une gamme d’outils de gestion des stocks, de suivi des ventes et de marketing, permettant aux retailers de développer leur activité en ligne de manière efficace.
Terminal de paiement physique
Square propose un terminal de paiement compact et moderne qui permet aux commerçants d’accepter les paiements par carte de crédit et de débit. Ce terminal est facile à installer et à utiliser, offrant une solution pratique pour les transactions en personne.
Logiciel de caisse
L’entreprise fournit un logiciel de caisse complet qui permet aux retailers de gérer facilement leurs ventes et leurs transactions. Ils peuvent créer des tickets de caisse, suivre les stocks, ajouter des produits ou encore appliquer des remises.
Analyse des ventes
Square propose des outils d’analyse qui permettent aux commerçants de suivre et d’analyser leurs ventes. Ils peuvent consulter des rapports détaillés sur les ventes quotidiennes, hebdomadaires ou mensuelles, identifier les tendances, analyser les performances des produits et prendre des décisions éclairées pour améliorer leur activité.
Répertoire des clients
Avec Square, les commerçants peuvent recueillir et de gérer les informations des clients en créant un répertoire de clients. Ils peuvent enregistrer les coordonnées des clients, suivre les achats précédents, envoyer des reçus par e-mail et offrir un service personnalisé.
Paiements en ligne
La FinTech facilite les paiements en ligne en fournissant une intégration transparente avec des plateformes d’e-commerce populaires (comme PrestaShop, Wix, WooCommerce ou encore Ecwid). Les commerçants peuvent accepter les paiements en ligne de manière sécurisée et pratique, offrant ainsi une expérience d’achat fluide à leurs clients.
Gestion des stocks
Square propose des fonctionnalités de gestion des stocks qui permettent aux commerçants de suivre et de gérer leur inventaire. Ils peuvent surveiller les niveaux de stock, définir des alertes de réapprovisionnement, organiser les produits par catégories et simplifier la gestion globale de leur inventaire.
Outils de marketing
Enfin, Square offre également des outils de marketing intégrés pour aider les commerçants à promouvoir leur entreprise. Ils peuvent envoyer des e-mails marketing, créer des programmes de fidélité, gérer des campagnes promotionnelles et fidéliser leur clientèle.
Parmi les solutions similaires, on peut citer PAYPAL, ADYEN, STRIPE ou encore MANGOPAY.
FAITES VOUS CONNAITRE SUR FRENCHWEB.FRSquare revendique plus de 2 millions d’entreprises clientes, des petit commerçants comme de grandes entreprises.
L’entreprise :Square est une société américaine spécialisée dans les paiements numériques fondée et dirigée par Jack Dorsey. La startup fondée en 2009, qui s’est depuis imposée dans des millions de commerces, cafés et entreprises aux Etats-Unis et dans le monde, propose aux commerçants une boîte à outils de paiements connectés, qui comprend un terminal physique, un logiciel de caisse, une analyse des ventes, ou encore un répertoire des clients.
LE COMPARATIF DES SOLUTIONS DE PAIEMENTS NUMÉRIQUES SQUARE ADYEN STRIPE PAYPAL Terminal de paiement Oui, un terminal de paiement physique pour les transactions en personne Non Non Non Analyse des ventes Oui, outils d’analyse des ventes détaillés Oui, des rapports et des analyses Oui, des fonctionnalités de suivi des ventes et de reporting Oui, des rapports de ventes et des analyses Paiements en ligne Oui, paiements en ligne via sa plateforme de paiement intégrée Oui, prend en charge les paiements en ligne Oui, plateforme de paiement en ligne pour les transactions sur les sites web et les applications Oui, solution de paiement en ligne Gestion des stocks Oui, fonctionnalités de gestion des stocks pour suivre et gérer les niveaux d’inventaire Non Non Non Prévention de la fraude Oui, intègre des fonctionnalités de détection de fraude pour protéger les transactions Oui, outils avancés de prévention de la fraude pour sécuriser les paiements Oui, offre des fonctionnalités de prévention de la fraude, y compris la vérification des paiements Oui, dispose de mesures de sécurité et de prévention de la fraude pour protéger les transactions. Gestion des litiges Oui, propose une assistance pour la gestion des litiges et des remboursements Oui, offre des fonctionnalités de gestion des litiges et des remboursements Oui, fournit des outils de résolution des litiges pour aider à gérer les problèmes de paiement Oui, propose une assistance pour la résolution des litiges et les remboursementsL’article Connaissez-vous SQUARE, la société de paiements numériques de Jack Dorsey? est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
La start-up Neuralink, une des entreprises d’Elon Musk, a annoncé jeudi sur Twitter qu’elle avait reçu l’accord des autorités sanitaires américaines pour tester ses implants cérébraux connectés sur des humains.
« C’est un premier pas important qui permettra un jour à notre technologie d’aider de nombreuses personnes », a déclaré la société californienne sur son compte Twitter, précisant que « les recrutements pour les essais cliniques ne sont pas encore ouverts ».
Neuralink conçoit des appareils connectés à implanter dans le cerveau pour communiquer avec les ordinateurs directement par la pensée.
Ils doivent d’abord servir à aider des personnes paralysées ou souffrant de maladies neurologiques.
La start-up veut ensuite rendre ces implants suffisamment sûrs et fiables pour qu’ils relèvent de la chirurgie élective (de confort) – des personnes pourraient alors débourser quelques milliers de dollars pour doter leur cerveau d’une puissance informatique.
Pour Elon Musk, ces puces doivent permettre à l’humanité d’arriver à une « symbiose avec l’intelligence artificielle (IA) », selon ses mots de 2020, prononcés lors de la conférence annuelle de l’entreprise.
Le milliardaire craint que des systèmes d’IA ne dépassent les humains et ne prennent un jour le contrôle.
En mars, il a fondé X.AI, une nouvelle entreprise spécialisée dans l’IA, probablement pour rivaliser avec OpenAI, l’entreprise qui a conçu ChatGPT, un programme d’IA générative à succès, capable d’interagir avec les humains et de produire toutes sortes de textes sur demande.
– Concurrence –
« Nous sommes désormais confiants dans le fait que l’appareil de Neuralink soit prêt pour les humains, donc le calendrier dépend du processus d’approbation de la FDA », l’agence américaine du médicament, avait-il indiqué fin novembre sur Twitter, un mois après avoir racheté le réseau social.
La FDA n’a pas immédiatement répondu à une sollicitation de l’AFP.
Le patron de Tesla et SpaceX (exploration spatiale), est un habitué des prédictions hasardeuses, notamment au sujet de l’autonomie des voitures électriques Tesla.
En juillet 2019, il avait estimé que Neuralink pourrait réaliser ses premiers tests sur des individus en 2020.
Pour l’instant, les prototypes de la taille d’une petite pièce de monnaie ont été implantés dans le crâne d’animaux. Plusieurs singes sont ainsi capables de « jouer » à des jeux vidéo ou de « taper » des mots sur un écran, simplement en suivant des yeux le mouvement du curseur à l’écran.
Fin novembre, la start-up avait aussi fait le point sur ses dernières avancées dans la conception d’un robot-chirurgien et le développement d’autres implants, à installer dans la moelle épinière ou les yeux, pour rendre la mobilité ou la vision.
En 2022, Elon Musk a exhorté les employés de Neuralink à travailler plus vite. « Nous serons tous morts avant que quoi que ce soit d’utile ne se produise », leur a-t-il dit lors d’une réunion l’année dernière, d’après l’agence de presse Bloomberg.
D’autres entreprises travaillent sur le contrôle des ordinateurs par la pensée, comme Synchron, qui a annoncé en juillet 2022 avoir implanté la première interface cerveau-machine aux Etats-Unis.
« Nous construisons une technologie capable de diffuser directement la pensée des personnes qui ont perdu la capacité de bouger ou de parler à cause d’une maladie ou de blessures », explique Thomas Oxley, le fondateur et patron de cette start-up, dans une vidéo sur son site web.
Plusieurs patients testent l’implant, qui a été inséré dans des vaisseaux sanguins, pour pouvoir composer des emails ou aller sur internet grâce à leurs yeux et à leur cerveau.
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Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, vient d’accepter la présidence du conseil de surveillance du fabricant de semi conducteur STMicroelectronics. Nicolas Dufourcq est entré au conseil de surveillance de la société en 2015, en tant que représentant de l’État français, qui détient une part de 13,75% du capital de l’entreprise. Avec cette nouvelle responsabilité, Nicolas Dufourcq est attendu pour continuer à favoriser la croissance de l’entreprise tout en renforçant son rôle en tant que leader dans l’industrie des semi-conducteurs.
Il continue à occuper son mandat chez BPI France avec pour ambition de faire de la banque publique le centre névralgique de l’écosystème français des start-up et de l’innovation entrepreneuriale.
Bpifrance est devenu sous sa houlette le coeur d’un système de prêts et de prises de participation, directes ou à travers des fonds, ainsi que d’activités de conseil et de formation au sein « d’accélérateurs » pour faire grandir start-up et PME.
Chantre de l’entrepreneuriat, ce banquier qui multiplie les opérations de communication, porte lunettes et raie sur le côté, a développé l’amorçage pour l’innovation de rupture à travers le plan « Deeptech » en liaison avec le monde de la recherche, et mis en musique les priorités du gouvernement pour renforcer les parts de marché françaises à l’international.
A travers son plan French Fab notamment, la banque d’investissement contribue à l’effort de réindustrialisation du pays, un sujet sur lequel Nicolas Dufourcq a publié en juin 2022 chez Odile Jacob un livre intitulé « La désindustrialisation de la France: 1995-2015 ».
L’institution qu’il dirige s’est aussi mobilisée au début de la crise sanitaire en 2020 pour accorder les garanties publiques nécessaires à la distribution des prêts garantis par l’Etat (PGE).
Le banquier veut enfin faire de Bpifrance la banque du climat, en accompagnant la transition énergétique des entreprises, grâce à ses prêts mais aussi en formant les dirigeants d’entreprise à ces nouveaux enjeux.
Amateur d’alpinisme, ce père de trois enfants s’était fendu en 2015 dans le magazine Challenges d’une tribune en défense d’une autre de ses passions, la musique électronique.
Parisien de naissance, fils d’un ambassadeur – Bertrand Dufourcq – et d’une ancienne secrétaire d’Etat à la Recherche du gouvernement Juppé en 1995, Elisabeth Dufourcq, il est passé par Sciences Po Paris et est diplômé de HEC Paris puis de l’ENA, promotion Michel de Montaigne (1986-1988) comme l’ex-directeur général du journal Libération Denis Olivennes, ou l’essayiste Nicolas Baverez.
Inspecteur des Finances, Nicolas Dufourcq commence au ministère de l’Economie avant de rejoindre en 1992 le cabinet de René Teulade, ministre des Affaires sociales du gouvernement de Pierre Bérégovoy. Deux ans plus tard, il entre à France Télécom, où il crée la division multimédia, et préside Wanadoo, la filiale internet et pages jaunes du groupe. En 2003, il passe chez le groupe de services informatiques Capgemini, dont il devient le numéro deux.
Selon le quotidien Le Monde, c’est le secrétaire général adjoint de l’Elysée d’alors, Emmanuel Macron, qui l’a prévenu le 7 octobre 2012 que François Hollande pensait lui confier les rênes de la BPI, issue du regroupement de quatre entités publiques déjà existantes (Oséo, CDC Entreprises, FSI et FSI régions) et qui a repris en 2017 les services d’assurance export gérés jusqu’alors par la Coface.
L’article Nicolas Dufourcq nommé à la tête du conseil de surveillance de STMicroelectronics est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Le commissaire européen pour le Numérique, Thierry Breton, et le patron de Google, Sundar Pichai, se sont accordés mercredi pour travailler sur des règles afin d’encadrer l’intelligence artificielle (IA) avec les entreprises volontaires, dans l’attente d’une nouvelle législation dans l’UE.
« Nous nous sommes mis d’accord sur le fait que nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre que la législation sur l’IA soit applicable, et pour travailler ensemble avec tous les développeurs d’IA pour mettre en place un pacte sur une base volontaire », a déclaré Thierry Breton, après une rencontre avec Sundar Pichai à Bruxelles.
L’Union européenne (UE) veut être la première au monde à se doter d’un cadre juridique complet pour limiter les dérives de l’intelligence artificielle.
Bruxelles a proposé il y a deux ans un projet de règlement ambitieux, mais son examen par les Etats membres et le Parlement européen traîne en longueur. Si le texte devait être adopté avant la fin de l’année, il entrerait en vigueur « au plus tôt fin 2025 », a expliqué Thierry Breton à l’AFP.
D’une grande complexité technique, les systèmes d’intelligence artificielle fascinent autant qu’ils inquiètent.
Le grand public a découvert leur potentiel immense à la fin de l’année dernière avec la sortie du générateur de contenus rédactionnels ChatGPT de la société californienne OpenAI, qui peut rédiger des dissertations originales, des poèmes ou des traductions en quelques secondes.
Mais la diffusion sur les réseaux sociaux de fausses images, plus vraies que nature, créées à partir d’applications comme Midjourney, a alerté sur les risques de manipulation de l’opinion.
La future législation européenne s’inspire des réglementations existantes en matière de sécurité des produits et imposera des contrôles reposant d’abord sur les entreprises.
Le cœur du projet consiste en une liste de règles imposées aux seules applications jugées à « haut risque » par les entreprises elles-mêmes à partir des critères du législateur. Pour l’exécutif européen, il s’agirait de tous les systèmes utilisés dans des domaines sensibles comme les infrastructures critiques, l’éducation, les ressources humaines, le maintien de l’ordre ou la gestion des migrations.
Parmi les obligations: prévoir un contrôle humain sur la machine, l’établissement d’une documentation technique, ou encore la mise en place d’un système de gestion du risque.
La proposition de la Commission, dévoilée en avril 2021, prévoit aussi un encadrement des systèmes d’IA qui interagissent avec les humains. Elle les obligera à informer l’utilisateur qu’il est en relation avec une machine et contraindra les applications générant des images à préciser qu’elles ont été créées artificiellement.
« Beaucoup de choses peuvent être mises en oeuvre sans passer par la loi », a expliqué Thierry Breton, souhaitant travailler avec tous « les grands acteurs européens et non-européens » qui le souhaitent pour aboutir à une régulation « avant qu’elle ne devienne contraignante par la loi ».
Cette régulation anticiperait des éléments du projet européen « et peut-être d’autres éléments, s’ils ont d’autres idées pour renforcer la protection », a expliqué le commissaire.
Il a par ailleurs alerté le patron de Google sur des « problèmes » constatés avec sa filiale YouTube qui diffuserait de la désinformation pro-Russe, posant un risque de manipulation des élections en Europe. Thierry Breton s’est félicité de l’engagement de Sundar Pichai à « intensifier la lutte contre la désinformation ».
L’article IA: l’UE et Google veulent des règles volontaires avant une nouvelle loi est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Accueillir le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, lors d’un événement audio sur Twitter pour annoncer sa candidature présidentielle devait être un moment de grâce pour Elon Musk, moment qui se transforma en un véritable cauchemar enchainant les problèmes techniques.
Avec plus de 20 minutes de retard, l’événement enchaine les traditionnels problèmes de micro, les pannes à répétition du flux audio rendant pratiquement impossible pour la plupart des utilisateurs d’entendre le nouveau candidat à la présidence en temps réel au point où la diffusion en direct a brusquement coupé, laissant des centaines de milliers d’auditeurs désabusés. Après une courte pause, la diffusion a repris, mais à ce stade, l’élan avait déjà été brisé.
Finalement 140 caractères auraient suffit
A LIRE
Le gouvernement lance un appel à projet pour moderniser le droit français avec l’Open Data
L’IA reconfigure les organisations, à commencer par les medias
Le PDG du Washington Post, Fred Ryan, a annoncé vouloir exploiter davantage la puissance de l’IA générative. Pour ce faire le journal confie le projet à deux équipes transversales : la Taskforce de l’IA, composée de dirigeants, qui définira la direction stratégique et les priorités de l’entreprise en matière d’IA, et le Hub de l’IA, une équipe opérationnelle qui coordonnera les initiatives d’IA à travers l’organisation. Le Washington Post considère l’IA comme une opportunité prioritaire. Bienvenue au club!
Amazon a annoncé la fermeture de son Appstore en Chine à compter du 17 juillet 2023, après avoir fermé l’année dernière sa librairie électronique Kindle dans le pays.
LA STARTUP A SUIVRE:Connaissez vous ONEFLOW, la solution suédoise qui simplifie la gestion des contrats?
La gestion des contrats se complexifie et peut s’avérer fastidieuse et chronophage pour de nombreuses entreprises. La création, la rédaction et la signature de documents peuvent prendre beaucoup de temps et entraîner des coûts supplémentaires inutiles. C’est le problème qu’adresse la société suédoise Oneflow, qui a mis en place une solution d’automatisation des processus contractuels.
Pour en parler, nous avons reçu Alexia Busser, Marketing Manager France chez Oneflow
LEVEES DE FONDS avec le soutien de JUNTO, spécialiste de la performance média.FAKS lève 5 millions d’euros pour aider les pharmaciens à gérer leurs opérations après-vente
OPENAI a clôturé un fonds de 175,3 millions de dollars destiné à investir dans d’autres start-ups, selon un document déposé auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC). Ce montant représente une augmentation de 75 % par rapport au fonds annoncé par la start-up en mai 2021, qui avait obtenu le soutien de Microsoft et d’autres investisseurs. 14 investisseurs ont contribué à ce tour de table
ELEMENTL une entreprise spécialisée dans les services de gestion de données, a levé 33 millions de dollars lors d’un tour de financement de série B mené par Georgian. Cette levée porte le financement total de l’entreprise à 48,8 millions de dollars.
SEMAFOR a levé 19 millions de dollars dans un tour de financement mené par Jerry Yang, co-fondateur de Yahoo, et d’autres investisseurs. Ce financement remplace les 10 millions de dollars précédemment investis par Sam Bankman-Fried. SEMAFOR annonce également que ses revenus pour l’année 2023 ont déjà dépassé les 10 millions de dollars.
FIGURE, une entreprise travaillant sur la création d’un robot humanoïde qui a fait son premier pas en moins d’un an, a levé 70 millions de dollars lors d’un tour de financement de série A dirigé par Parkway. Cette levée fait suite à un financement initial de 100 millions de dollars autofinancé par l’entreprise.
INSIDER, une start-up de marketing basée sur l’intelligence artificielle à Istanbul, a levé 105 millions de dollars, portant sa valorisation à près de 2 milliards de dollars, en hausse par rapport à 1,22 milliard de dollars lors de sa série D en mars 2022. Cette levée porte le financement total de l’entreprise à 274 millions de dollars.
FW MARKETNVIDIA a dévoilé ses résultats financiers pour le premier trimestre de l’exercice 2024 avec un chiffre d’affaires de 7,19 milliards de dollars pour le trimestre se terminant le 30 avril 2023, marquant une baisse de 13% par rapport à l’année précédente, mais une augmentation de 19% par rapport au trimestre précédent. Dans le secteur des data centers, NVIDIA a annoncé un revenu record de 4,28 milliards de dollars, en hausse de 14% par rapport à l’année précédente et de 18% par rapport au trimestre précédent. Le secteur de l’automobile a enregistré des revenus record de 296 millions de dollars, en hausse de 114% par rapport à l’année précédente. NVIDIA a annoncé que son pipeline de conception automobile avait augmenté à 14 milliards de dollars sur les six prochaines années, contre 11 milliards de dollars il y a un an.
SNOWFLAKE a rapporté un revenu en hausse de 48% en glissement annuel pour le premier trimestre, s’élevant à 623,6 millions de dollars, dépassant les estimations de 608 millions de dollars. Cependant, l’entreprise prévoit un revenu de produit pour le deuxième trimestre inférieur aux estimations. Par ailleurs, Snowflake a annoncé son intention d’acquérir la start-up Neeva. Suite à ces annonces, l’action SNOW a chuté de 10%.
META a annoncé la dernière phase d’une série de suppressions d’emplois touchant des milliers d’employés au sein de ses départements commerciaux. Cette vague de licenciements s’inscrit dans le cadre d’une initiative de restructuration majeure visant à améliorer l’efficacité opérationnelle après une période d’embauche excessive pendant la pandémie. Si cette période de restructuration a engendré une certaine confusion parmi le personnel, avec un arrêt de certains travaux, et une replannification de l’ensemble des projets, la bourse est enthousiaste avec une progression x2 de l’action Facebook depuis 1 an
Les résultats financiers à suivre cette semaine: XIAOMI, NVIDIA, SNOWFLAKE et UIPATH
MOUVEMENTS avec le soutien d’ALTAIDE, le cabinet de recrutement du digitalGREGOIRE MARTINEZ rejoint 42 en tant que Chief operating officer après avoir piloté la communication et les projets stratégiques de STATION F
AGENDA LES PRECEDENTS GOOD MORNING:Vous pouvez écouter l’émission GOOD MORNING FRENCHWEB sur Apple Podcast, Spotify, Deezer. Si vous appréciez l’émission, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire, ou une note sur Apple Podcast.
Si vous souhaitez participer à l’émission Good Morning FrenchWeb, n’hésitez pas à nous contacter: redaction@decode.mediaL’article C’était insensé selon Elon Musk, pour Ron DeSantis c’est un départ raté est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Dans le monde complexe de la gestion des ressources humaines, les entreprises sont confrontées à de nombreux défis, notamment en matière de gestion de la paie, de déclarations fiscales, de suivi des activités des collaborateurs et de traitement des notes de frais. C’est là qu’intervient PayFit, une solution qui répond aux problèmes courants de gestion des ressources humaines.
Cette solution permet aux entreprises de réduire la complexité et les erreurs liées à la paie et de rationaliser le processus de remboursement des dépenses professionnelles. Les employés peuvent soumettre facilement leurs dépenses professionnelles via l’application mobile de PayFit, en téléchargeant les reçus et en fournissant les informations nécessaires. Les gestionnaires peuvent ensuite vérifier et approuver rapidement les notes de frais, et les remboursements peuvent être effectués de manière transparente. Cette automatisation réduit considérablement le temps et les ressources consacrés à la gestion des notes de frais, tout en minimisant les risques d’erreurs et de retards.
Suivi des activités des collaborateurs
PayFit offre également une fonctionnalité de suivi des activités des collaborateurs. Elle permet aux entreprises de centraliser les informations concernant les congés, les absences et les heures de travail de leurs employés. En permettant aux gestionnaires d’accéder facilement aux données relatives aux activités des collaborateurs, PayFit facilite la planification des ressources et l’organisation du travail. Les congés peuvent être demandés, approuvés et suivis directement depuis la plateforme. Les absences et les heures de travail peuvent également être enregistrées et consultées en temps réel, ce qui permet aux gestionnaires de suivre la productivité des employés et d’ajuster les affectations si nécessaire.
De plus, cette fonctionnalité offre une meilleure visibilité sur les données relatives aux activités des collaborateurs. Les entreprises peuvent analyser les tendances, identifier les pics d’absentéisme et les périodes d’activité intense, ce qui facilite la planification à long terme. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour les entreprises qui ont des équipes dispersées géographiquement ou qui travaillent à distance, car elle permet de maintenir une communication fluide et de garantir une répartition équilibrée du travail.
Parmi les solutions similaires, on peut citer LUCCA, PERSONIO ou encore CEGID.
FAITES VOUS CONNAITRE SUR FRENCHWEB.FRPayFit compte 9 500 TPE et PME clientes, parmi lesquels on peut citer Heetch, Liberkeys, Livestorm, Gymlib ou encore Kandbaz.
L’entreprise :PayFit est une entreprise leader dans le domaine de la gestion des ressources humaines. Fondée sur la gestion de la paie, PayFit offre désormais une gamme complète de services, de la gestion des activités des collaborateurs à la gestion des notes de frais. Forte de plus de 9 500 entreprises clientes, l’entreprise a levé près de 500 millions de dollars depuis son lancement.
L’article Connaissez-vous PAYFIT, une solution de gestion de paie et RH ? est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux ont accusé mercredi un « cyber-acteur » parrainé par la Chine d’avoir discrètement infiltré les « infrastructures critiques » américaines, et averti que des campagnes similaires pourraient avoir lieu dans le monde entier.
Dans un avis conjoint, les autorités chargées de la cybersécurité aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande ont mis en garde contre « un groupe d’activités » malveillant associé à « un cyber-acteur parrainé par l’Etat de la République populaire de Chine, également connu sous le nom de Volt Typhoon ».
« Cette activité affecte les réseaux des secteurs d’infrastructures critiques des Etats-Unis » et l’entité qui mène l’attaque « pourrait appliquer les mêmes techniques (…) dans le monde entier », ont-elles ajouté.
Dans un communiqué séparé, le groupe américain Microsoft a expliqué que « Volt Typhoon » est actif depuis la mi-2021 et qu’il a ciblé, entre autres, des infrastructures essentielles dans l’île de Guam, qui héberge une importante base militaire américaine dans l’océan Pacifique.
Cette campagne risque de « perturber les infrastructures de communication essentielles entre les Etats-Unis et la région asiatique lors de crises futures », a averti Microsoft.
La campagne vise « les secteurs des communications, de l’industrie, des services publics, des transports, de la construction, de la marine, du gouvernement, des technologies de l’information et de l’éducation », a poursuivi le groupe technologique américain.
Selon lui, « le comportement observé suggère que l’auteur de la menace a l’intention de faire de l’espionnage et de conserver l’accès (aux infrastructures) sans être détecté aussi longtemps que possible ».
Living off the land une technique d’intrusion pour être indétectable
D’après les agences de sécurité occidentales, ces attaques utilisent notamment la tactique dite « Living off the land » (LotL), par laquelle l’agresseur utilise les caractéristiques et les outils du système qu’il cible pour pénétrer à l’intérieur sans laisser de traces.
L’attaquant peut notamment utiliser des outils d’administration légitimes pour entrer dans le système et y insérer des scripts ou du code malfaisants. Ce type d’intrusion est beaucoup plus efficace que celles utilisant des logiciels malveillants, lesquels sont plus aisément détectables.
Selon Microsoft, Volt Typhoon essaye de se fondre dans l’activité normale du réseau en acheminant le trafic par l’intermédiaire d’équipements réseau infectés dans des petites entreprises et chez les télétravailleurs, notamment des routeurs, des pare-feu et des réseaux privés virtuels (VPN).
« Ils ont également été observés en train d’utiliser des versions personnalisées d’outils open-source », a déclaré Microsoft.
La directrice de l’Agence américaine de cybersécurité et de sécurité des infrastructures, Jen Easterly, a également lancé une mise en garde contre Volt Typhoon.
« Depuis des années, la Chine mène des opérations dans le monde entier pour voler la propriété intellectuelle et les données sensibles des organisations d’infrastructures critiques », a déclaré Mme Easterly.
Des moyens sophistiqués pour cibler les infrastructures essentielles« L’avis publié aujourd’hui, en collaboration avec nos partenaires américains et internationaux, montre que la Chine utilise des moyens très sophistiqués pour cibler les infrastructures essentielles de notre pays », a-t-elle poursuivi.
Selon elle, cet avis « permettra aux défenseurs des réseaux de mieux comprendre comment détecter et atténuer cette activité malveillante ».
La Chine n’a pas réagi dans l’immédiat à ces allégations. Pékin nie régulièrement mener ou parrainer des cyberattaques, et accuse en retour les Etats-Unis de cyberespionnage à son encontre.
La Chine et la Russie ciblent depuis longtemps les infrastructures critiques, mais Volt Typhoon a permis de mieux comprendre le modus operandi du piratage chinois, estime John Hultquist, analyste à la société américaine de cybersécurité Mandiant.
« Les acteurs chinois de la cybermenace sont uniques parmi leurs pairs, en ce sens qu’ils n’ont pas régulièrement recours à des cyberattaques destructrices et perturbatrices », explique-t-il. Selon lui, la divulgation par les pays occidentaux des agissements de Volt Typhoon « est une occasion rare d’enquêter sur cette menace et de s’y préparer ».
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« Living off the Land » (LoTL) est une stratégie utilisée par les attaquants où ils exploitent les outils et les fonctionnalités qui sont déjà présents dans les systèmes ciblés au lieu d’utiliser des logiciels malveillants personnalisés.
L’avantage de cette approche pour les attaquants est qu’elle rend la détection et la prévention de ces attaques beaucoup plus difficile. Par exemple, de nombreux outils d’administration système légitimes peuvent être utilisés de manière malveillante, et il est difficile pour les logiciels de sécurité de distinguer entre une utilisation légitime et une utilisation malveillante de ces outils.
En outre, comme ces outils sont souvent nécessaires pour le fonctionnement normal d’un système, il n’est pas possible de simplement les désactiver ou de les supprimer sans affecter la fonctionnalité du système.
Les attaquants peuvent également exploiter les fonctionnalités intégrées des systèmes d’exploitation et des logiciels d’application pour mener à bien leurs attaques. Par exemple, ils peuvent utiliser des scripts PowerShell pour exécuter des commandes malveillantes, ou ils peuvent exploiter les macros dans les documents Microsoft Office pour installer des logiciels malveillants.
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La prochaine fois que vous écouterez un podcast sur Spotify, prêtez une attention particulière à la publicité – elle pourrait être lue par une intelligence artificielle et non par votre présentateur favori.
C’est ce qu’a déclaré Bill Simmons, fondateur du réseau de podcasts The Ringer, détenu par Spotify. Selon lui, la plateforme de streaming développe actuellement des outils d’IA formés sur les voix de ses hôtes pour créer des publicités ciblées. L’information a été révélée pour la première fois par Semafor.
« Je ne pense pas que Spotify va m’en vouloir pour ça, mais nous développons ce genre de choses », a déclaré Simmons lors d’une conversation avec Derek Thompson, rédacteur en chef de The Atlantic, lors d’un épisode du « The Bill Simmons Podcast ». « Il y aura un moyen d’utiliser ma voix pour les publicités. Il faut bien sûr donner l’autorisation pour l’usage de la voix, mais cela ouvre, du point de vue publicitaire, toutes sortes de belles possibilités ».
Simmons, qui a vendu The Ringer à Spotify pour près de 200 millions de dollars en 2020, a mis en avant le potentiel de la publicité par IA pour personnaliser les publicités, par exemple, pour une entreprise de billetterie, qui pourrait cibler géographiquement les auditeurs pour des événements dans des villes spécifiques. Cela marque un tournant dans le monde de la publicité et pourrait bien changer la manière dont les publicités sont diffusées dans les podcasts.
A bon entendeur!
A LIRE
Comme 130 000 professionnels du numérique, recevez en exclusivité chaque matin le Good Morning FRENCHWEB en rejoignant notre communauté. BREAKING NEWS:Google booste ses annonces de recherche avec l’IA Générative
Dans une annonce faite lors de son événement Google Marketing Live, le géant de la tech Google a révélé qu’il s’apprête à utiliser l’IA générative pour améliorer la pertinence de ses annonces publicitaires sur sa plateforme Search. Cette décision fait suite à l’introduction l’année dernière d’actifs créés automatiquement (ACA), un système qui génère des titres et des descriptions pour les annonces à partir du contenu des pages de destination et des annonces existantes.
Dans une prochaine mise à jour, Google utilisera l’IA générative pour renforcer l’efficacité des ACA, permettant aux annonces de recherche d’être créées et adaptées plus précisément en fonction du contexte d’une requête utilisateur. Par exemple, une requête pour « soins de la peau pour peau sèche sensible » pourrait amener l’IA à générer un titre d’annonce comme « Apaisez votre peau sèche et sensible », utilisant le contenu des pages de destination et des annonces existantes de l’entreprise. Selon Google, cette approche va accroître la pertinence des annonces publicitaires pour les marques dans les résultats de recherche.
En parallèle, Google a annoncé l’introduction d’une nouvelle expérience conversationnelle en langage naturel au sein de sa plateforme Google Ads. Ce système est conçu pour faciliter la création de campagnes publicitaires et simplifier la gestion des annonces de recherche.
LA STARTUP A SUIVRE:Connaissez vous ONEFLOW, la solution suédoise qui simplifie la gestion des contrats?
La gestion des contrats se complexifie et peut s’avérer fastidieuse et chronophage pour de nombreuses entreprises. La création, la rédaction et la signature de documents peuvent prendre beaucoup de temps et entraîner des coûts supplémentaires inutiles. C’est le problème qu’adresse la société suédoise Oneflow, qui a mis en place une solution d’automatisation des processus contractuels.
Pour en parler, nous avons reçu Alexia Busser, Marketing Manager France chez Oneflow
LEVEES DE FONDS avec le soutien de JUNTO, spécialiste de la performance média.FAKS lève 5 millions d’euros pour aider les pharmaciens à gérer leurs opérations après-vente
Un tour de table de série C porte à 450 millions de dollars le financement de la startup Anthropic
Anthropic, la start-up pionnière dans l’IA générative, fait encore parler d’elle : elle vient d’annoncer avoir levé 450 millions de dollars lors d’une opération de financement de série C dirigée par Spark Capital. Bien que la société ait gardé secret le montant de sa valorisation suite à cette opération, des informations relayées par The Information début mars et confirmées par nos soins après la fuite d’une présentation interne, évaluaient la startup à plus de 4,1 milliards de dollars.
Dans un communiqué, Dario Amodei, PDG d’Anthropic, s’est félicité de l’appui des investisseurs et entreprises technologiques de premier plan : « Les systèmes que nous construisons sont conçus pour fournir des services d’IA fiables, susceptibles d’avoir un impact positif sur les entreprises et les consommateurs, aujourd’hui comme demain ».
En outre, Anthropic s’est vanté d’avoir déjà à son actif plus d’une douzaine de clients répartis dans différents secteurs tels que la santé, les RH et l’éducation. Dans le cadre de sa mission, la société s’est récemment associée à Zoom, dans le but de « construire des produits d’IA orientés clients axés sur la fiabilité, la productivité et la sécurité ». Cette alliance s’ajoute à un partenariat similaire avec Google.
La participation à ce tour de table d’entreprises technologiques de premier plan, dont Google (fournisseur de services cloud d’Anthropic), Salesforce (via Salesforce Ventures) et Zoom (via Zoom Ventures), aux côtés de Sound Ventures, Menlo Ventures et d’autres investisseurs en capital-risque, témoigne de l’intérêt grandissant pour les solutions d’IA proposées par Anthropic.
Cette nouvelle levée de fonds coïncide avec l’arrivée de Fraser Kelton, ancien chef de produit chez OpenAI, au sein de Spark Capital. M. Kelton a rejoint la société de capital-risque en tant que partenaire, marquant ainsi la volonté renouvelée de Spark d’investir dans des startups en phase précoce spécialisées en IA générative.
Yasmin Razavi, associée générale chez Spark Capital et récente membre du conseil d’administration d’Anthropic, a déclaré dans un communiqué de presse : « Toute l’équipe de Spark est ravie de s’associer à Dario et à toute l’équipe d’Anthropic dans leur mission de construire des systèmes d’IA fiables et honnêtes. La réponse extrêmement positive aux produits et recherches d’Anthropic laisse entrevoir le potentiel plus large de l’IA. »
Episode Six, basée à Austin, qui propose des services de traitement de paiement et une infrastructure de registres numériques aux banques et entreprises, vient d’annoncer la clôture d’un tour de financement de série C. La levée, d’un montant de 48 millions de dollars, a été dirigée par Avenir.
Go, l’application de réservation de taxis basée à Tokyo, a annoncé avoir levé environ 72 millions de dollars auprès de Goldman Sachs, portant ainsi sa valorisation à environ 1 milliard de dollars. La startup japonaise affirme désormais contrôler 70% du marché local, surpassant ainsi des géants internationaux tels qu’Uber et Didi.
FW MARKETShutterstock, la plateforme de stock de photos et de vidéos, a annoncé son intention d’acquérir Giphy, le populaire service de partage de GIF, pour une somme de 53 millions de dollars en espèces. L’acquisition intervient suite à une décision de l’Autorité de la concurrence du Royaume-Uni (CMA) qui a ordonné à Meta, anciennement Facebook, de céder Giphy en 2022.
Meta avait acquis Giphy pour un montant estimé à 400 millions de dollars, ce qui rend la transaction actuelle avec Shutterstock particulièrement remarquable. La vente à venir reflète les complications réglementaires rencontrées par Meta suite à son acquisition de Giphy. Il s’agit d’une tournure inattendue et significative pour Meta, qui a dû céder l’entreprise suite à des préoccupations de concurrence.
Les résultats financiers à suivre cette semaine: XIAOMI, NVIDIA, SNOWFLAKE et UIPATH
MOUVEMENTS avec le soutien d’ALTAIDE, le cabinet de recrutement du digitalAudrey SLIWINSKI est nommé Directrice communication et relations externes de la FRENCHTECH, elle officiait précédement chez Netflix et Twitter.
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Si vous souhaitez participer à l’émission Good Morning FrenchWeb, n’hésitez pas à nous contacter: redaction@decode.mediaL’article SPOTIFY, vous n’allez pas en croire vos oreilles mais il va falloir vous y habituer est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Microsoft Build est l’événement annuel majeur de Microsoft dédié aux développeurs. Il offre aux participants l’opportunité de découvrir les dernières avancées technologiques, de participer à des sessions techniques et de nouer des contacts au sein de la communauté des développeurs. L’événement met en avant les innovations dans les domaines de l’IA, du cloud computing et du développement d’applications.
Microsoft Build 2023 a été le théâtre de nombreuses annonces majeures dans le domaine de la technologie et de l’IA. Voici un récapitulatif des 10 annonces qu’il faut retenir:
L’article MICROSOFT BUILD 2023, les 10 annonces qu’il faut retenir est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
La société de cybersécurité française Sekoia a réalisé l’une des plus grosses levées de fonds du secteur depuis le début de l’année, en levant 35 millions d’euros auprès notamment de la Banque des territoires (Caisse des Dépôts) et d’un fonds du groupe portugais Sonae, a-t-elle annoncé dans un communiqué.
En 2020, Sekoia, spécialiste de l’anticipation et la détection des menaces cyber avec sa plateforme Sekoia.io, avait déjà levé 10 millions d’euros auprès des fonds Omnes et Alliance Entreprendre.
Actions préférentielles, Post-money valuation, Ratchet… Découvrez les nouveaux mots clés du capital risque dans notre lexique du capital investissementSekoia.io, qui a commencé à commercialiser sa solution en 2020, compte aujourd’hui une centaine d’employés et a enregistré une croissance de 250% de son chiffre d’affaires en 2021 comme en 2022. La société vise la protection de plus de 3,5 millions de salariés à travers l’Europe d’ici 24 mois.
Elle équipe des sociétés du CAC40, des administrations européennes et françaises mais aussi des acteurs majeurs des services de sécurité, a commenté son PDG Freddy Milesi dans le communiqué.
Cette levée de fonds s’inscrit dans un contexte de ralentissement des investissements dans les start-up françaises.
Les annonces de levées de fonds au premier trimestre ont chuté de 68%, avec un total de 1,4 milliard d’euros contre 4,3 milliards au premier trimestre 2022, selon un bilan du fonds Newfund. Un recul surtout dû au retrait quasi-total des fonds de capital-risque américains du marché français.
Depuis le début de l’année, quelques entreprises du secteur ont néanmoins obtenu des financements importants, en tête DataDome (détection des attaques de bots et de la fraude en ligne), qui a levé 38 millions d’euros, Sesame It (détection des cyberattaques), qui a levé 10 millions d’euros, ou encore l’école de formation à la cybersécurité 2600, qui a levé 6 millions d’euros. Egérie, qui permet aux entreprises d’analyser les risques financiers liés aux risques cyber, a levé 30 millions d’euros.
Nom de l’entreprise SEKOIA Description SEKOIA est une entreprise de technologie de la cybersécurité qui propose des solutions pour la sécurité des entreprises. La société offre une gamme de services de sécurité informatique, tels que la gestion des vulnérabilités et la détection des menaces. SEKOIA travaille avec des entreprises pour améliorer la sécurité de leur infrastructure informatique et la protection de leurs données. Secteur d’activité Cybersécurité Année de création 2008 Fondateurs Freddy Milesi, David Bizeul Fonds levés 45 millions d’euros Site web sekoia.io Effectif 90 employés Siège social Paris, Ile-de-France, France Investisseurs Omnes Capital, BNP Paribas Développement, Alliance Entreprendre Équipe de direction Freddy Milesi (CEO), David Bizeul (Chief Scientific Officer), Arnaud Dechoux (Public Affairs Director), Cecile Feroldi (Chief Marketing Officer) For more informations (french or english) about SEKOIA or about >2000 french startups, contact us: startupscouting@frenchweb.frL'actualité des levées de fonds vous est présentée en partenariat avec Junto
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L’article Sekoia lève 35 millions d’euros pour détecter les cybermenaces est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Le secrétariat général du gouvernement et la Direction de l’information légale et administrative (DILA) ont lancé un appel à projet de grande ampleur. L’objectif : créer un Référentiel Unique de Normes, baptisé RUNE, afin de moderniser la manière dont le droit français est conçu, diffusé et réutilisé.
Dans le cadre du programme « Nouveaux outils de production normative » (NOPN), le gouvernement cherche à accroître la qualité et la quantité des données qui alimentent Légifrance, la plateforme de référence pour la consultation des textes législatifs et réglementaires en France. Elle recherche pour cela une « entreprise innovante et experte dans le traitement et le stockage des données ».
L’ambition est de mettre à disposition de tous les citoyens, ainsi que des acteurs concernés, un accès facilité à la législation française. Cela passera notamment par l’utilisation de l’Open Data, permettant la réutilisation des données normatives par des entreprises et des organismes tiers.
Une tendance mondialePlusieurs pays ont déjà adopté l’Open Data pour moderniser le droit et améliorer l’accès à l’information juridique. On peut citer notamment les États-Unis, qui ont lancé le site web Data.gov, qui offre un large éventail de données publiques, y compris des informations législatives et réglementaires. Ces données sont mises à disposition du public pour être utilisées et analysées, permettant ainsi une meilleure compréhension du système juridique américain.
En Europe, plusieurs pays ont également mis en place des initiatives d’Open Data dans le domaine juridique. L’Open Data est considéré comme un pilier de la stratégie numérique de l’Union européenne, et de nombreux États membres ont développé leurs propres plateformes pour rendre les lois et les réglementations accessibles au public. Par exemple, le Royaume-Uni a lancé legislation.gov.uk, une plateforme qui fournit un accès gratuit aux textes législatifs du pays. D’autres pays, tels que l’Estonie, les Pays-Bas et la Norvège, ont également adopté des approches similaires en matière d’Open Data pour rendre leurs systèmes juridiques plus accessibles et transparents.
L’utilisation de l’Open Data dans la modernisation du droit est une tendance mondiale, qui permet de repenser les processus traditionnels de fabrication, de diffusion et de réutilisation du droit. En ouvrant les données normatives, les gouvernements favorisent la participation citoyenne, encouragent l’innovation et renforcent la transparence démocratique, contribuant ainsi à une meilleure compréhension et application du droit.
En lançant cet appel à projet, la DILA cherche à repenser la fabrication et la diffusion du droit en exploitant les possibilités offertes par l’Open Data. Les informations détaillées sur cet appel à projet sont disponibles sur PLACE, la plateforme des achats de l’État. Les entreprises intéressées peuvent y trouver toutes les informations nécessaires pour soumettre leur candidature.
L’article Le gouvernement lance un appel à projet pour moderniser le droit français avec l’Open Data est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
In this 58th episode of the Decode Quantum podcast series, Fanny Bouton and Olivier Ezratty welcome Simone Severini, who runs all quantum activities at AWS/Amazon. It is the first in English and probably not the last one!
Simone Severini is the Director in charge of Quantum Technologies at Amazon Web Services (AWS) since 2018. He also holds an academic appointment as a Professor of Physics of Information at University College London (UCL), where he has been since 2009. He contributed to initiate university-industry collaborations with enterprises like Google, Lockheed Martin, and Siemens. He helped co-founding startup like Phasecraft and Cambridge Quantum Computing (now Quantinuum). Simone got a PhD from the University of Bristol with Richard Jozsa in 2004 and a degree in Philosophy from the University of Florence. Simone is based in Seattle.
Vous pouvez retrouver le podcast DECODE QUANTUM sur Spotify, Apple Podcast ou Deezer Si vous appréciez l’émission, n’hésitez pas à nous laisser un petit commentaire, ou une note sur Apple Podcast.L’article [DECODE Quantum] A la rencontre de Simone Severini, directeur de l’informatique quantique chez AWS est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Meta a développé des modèles d’intelligence artificielle capables de reconnaître et de générer de la parole pour plus de 1 000 langues. Ses modèles sont disponibles au public via GitHub.
Il existe environ 7 000 langues dans le monde, mais les modèles de reconnaissance de parole existants en couvrent de manière exhaustive qu’une centaine Cela s’explique par le fait que ces modèles nécessitent généralement d’énormes quantités de données d’entraînement étiquetées, qui ne sont disponibles que pour un petit nombre de langues, comme l’anglais, l’espagnol et le chinois.
Les chercheurs de Meta ont contourné ce problème en réentraînant un modèle d’intelligence artificielle existant développé par l’entreprise en 2020, capable d’apprendre les modèles de parole à partir d’audio sans nécessiter de grandes quantités de données étiquetées, telles que des transcriptions.
Ils l’ont entraîné sur deux nouveaux ensembles de données : l’un contenant des enregistrements audio du Nouveau Testament de la Bible du Nouveau Testament et ce dans 3 809 langues.
IAmen!
A LIRE
TikTok procède à une restructuration de son activité de commerce électronique afin de se concentrer sur les marchés où le service a déjà été lancé, tels que le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Asie du Sud-Est. Cette décision stratégique vise à capitaliser sur le succès de TikTok dans ces régions clés et à renforcer sa présence sur le marché. TikTok veut maximiser ses opportunités de croissance et réduire ses coûts de développements sur des marchés moins performants.
Superintelligence : une IA pas comme les autresSam Altman, fondateur d’OpenAI, Greg Brockman, le CTO d’Open AI, et Ilya Sutskever, chef scientifique de la startup, ont ensemble rédigé un texte sur l’avenir de l’intelligence artificielle dite superintelligente. Ils prévoient qu’au cours de la prochaine décennie, l’IA surpassera les compétences expertes dans la majorité des domaines et aura une productivité inégalée. Toutefois ils soulignent que le potentiel de la superintelligence, tant en termes de bénéfices que de risques, est comparable à celui d’autres technologies auxquelles l’humanité a dû faire face par le passé, comme l’énergie nucléaire et la biologie synthétique.
Le couple détonnant de l’IA x Réseaux sociauxUne photographie falsifiée d’une explosion près du Pentagone a circulé en masse sur les réseaux sociaux, entrainant une réaction immédiate des marchés financiers américains. Le S&P 500 a ainsi enregistré une baisse de 0,3% à 10 heures, heure de New York, correspondant au pic de diffusion de la fausse information. Ce phénomène inédit, impactant directement le marché à partir d’une image générée par intelligence artificielle (IA), pose la question cruciale de la vulnérabilité de nos institutions financières face à ces nouvelles technologies.
L’image en question, diffusée initialement sur Facebook, prétendait montrer un important panache de fumée près du siège du département de la Défense américain, situé en Virginie. Rapidement, la fausse information s’est propagée sur Twitter, touchant des millions d’abonnés à travers des comptes influents, tels que le réseau d’information contrôlé par l’État russe, RT, et le site d’information financière ZeroHedge.
Une fois la supercherie dévoilée, les indices boursiers ont rapidement rebondi. Cet incident souligne l’impact déstabilisateur de l’IA sur les institutions financières. Les fausses informations, amplifiées par la puissance de l’IA, peuvent engendrer des mouvements de panique et perturber l’équilibre fragile des marchés financiers.
Les institutions financières doivent être prêtes à faire face à ces nouvelles formes de risques pour assurer la stabilité et l’intégrité des marchés financiers. A défaut de solutions technologiques efficientes, le rôle des plateformes telles que Twitter ou Facebook va devoir évoluer pour empécher la diffusion de tels messages, les régulateurs ne devraient pas tarder à mettre sous pressions les protagonistes.
LA STARTUP A SUIVRE:Connaissez vous ONEFLOW, la solution suédoise qui simplifie la gestion des contrats?
La gestion des contrats se complexifie et peut s’avérer fastidieuse et chronophage pour de nombreuses entreprises. La création, la rédaction et la signature de documents peuvent prendre beaucoup de temps et entraîner des coûts supplémentaires inutiles. C’est le problème qu’adresse la société suédoise Oneflow, qui a mis en place une solution d’automatisation des processus contractuels.
Pour en parler, nous avons reçu Alexia Busser, Marketing Manager France chez Oneflow
LEVEES DE FONDS avec le soutien de JUNTO, spécialiste de la performance média. LEVEES DE FONDS A L’ETRANGER:CHALO, basée à Mumbai, qui propose aux exploitants de bus des paiements en ligne et un suivi en temps réel des trajets, a levé 45 millions de dollars lors de sa série D, dirigée par Avataar Ventures, ainsi que 12 millions de dollars de dettes.
FIRMBASE, une start-up proposant une plateforme de planification financière et d’analyse pour les start-ups (sur le même modèle que PIGMENT), a levé 12 millions de dollars lors d’un tour d’amorçage dirigé par S Capital, avec la participation de Meron Capital et de nombreux business angels
FW MARKET
Les résultats financiers à suivre cette semaine: XIAOMI, NVIDIA, SNOWFLAKE et UIPATH
MOUVEMENTS avec le soutien d’ALTAIDE, le cabinet de recrutement du digitalA ne pas manquer dès demain MICROSOFT BUILD en direct de Seattle
LES PRECEDENTS GOOD MORNING:Vous pouvez écouter l’émission GOOD MORNING FRENCHWEB sur Apple Podcast, Spotify, Deezer. Si vous appréciez l’émission, n’hésitez pas à nous laisser un commentaire, ou une note sur Apple Podcast.
Si vous souhaitez participer à l’émission Good Morning FrenchWeb, n’hésitez pas à nous contacter: redaction@decode.mediaL’article META entraîne son IA sur la Bible et le Nouveau testament est apparu en premier sur FRENCHWEB.FR.
Greg Brockman est le co-fondateur et directeur technique (CTO) du laboratoire de recherche en intelligence artificielle OpenAI. Financé par Elon Musk, Sam Altman et Reid Hoffman, ce laboratoire mène des recherches sur l’apprentissage profond et développe une intelligence artificielle amicale (friendly AI).
Brockman est né et a grandi à Thompson, dans le Dakota du Nord. Ses parents sont des médecins à l’Altru Health System. Il a fréquenté le lycée Red River, où il a montré un intérêt précoce pour les mathématiques, la chimie et l’informatique. Il a remporté une médaille d’argent pour l’équipe américaine lors de l’Olympiade internationale de chimie en 2006, qui s’est tenue à Gyeongsan, en Corée du Sud. En 2007, il a participé au concours national de sciences pré-universitaires Intel Science Talent Search, devenant le premier finaliste en provenance du Dakota du Nord depuis 1973.
Brockman s’inscrit à Harvard en 2008 avec l’intention de faire une double majeure en mathématiques et en informatique. Cependant, un an plus tard, il abandonne Harvard et part étudier au Massachusetts Institute of Technology (MIT), avant d’abandonner également en 2010.
Brockman rejoint la startup Stripe, fondée par son camarade de classe au MIT, Patrick Collison, et le frère de ce dernier, John Collison. Stripe développe des logiciels de traitement des paiements et des interfaces de programmation (API) pour les sites web et les applications mobiles. Brockman travaille en tant qu’ingénieur fondateur et devient le premier CTO de Stripe en 2013.
Brockman a publiquement soutenu l’investissement de Stripe dans la crypto-monnaie Stellar, et a contribué à porter la valorisation de Stripe à 3,5 milliards de dollars d’ici décembre 2014. En mai 2015, il quitte Stripe pour se consacrer à des projets d’intelligence artificielle indépendants.
En décembre 2015, en collaboration avec Elon Musk et Sam Altman, Brockman a co-fondé le laboratoire de recherche à but non lucratif OpenAI. Ce laboratoire vise à créer une IA sûre et autonome.
En tant que CTO de l’entreprise, Brockman recrute l’équipe fondatrice d’OpenAI et a dirigé plusieurs projets de recherche. En avril 2016, l’entreprise a lancé la version bêta d’OpenAI Gym, une plateforme publique permettant de développer et de comparer des algorithmes d’apprentissage par renforcement. OpenAI Gym, basé sur le langage de programmation Python, permet aux chercheurs de reproduire et d’étendre leurs travaux précédents sur l’apprentissage automatique.
En 2017, OpenAI entraîne un bot Dota 2 autonome, qui a battu le joueur professionnel ukrainien Danil Ishutin lors d’un match en direct lors de The International 2017. Après le match, Brockman explique que l’entreprise avait développé le bot en utilisant la méthodologie de l’apprentissage par renforcement. L’IA avait appris en jouant contre elle-même en temps réel avant le match et était récompensée pour des actions telles que l’élimination d’un ennemi et la prise d’objectifs sur la carte.
En 2018, l’entreprise a développé le projet OpenAI Five, créant une équipe complète de cinq bots curatés par OpenAI. Bien que les OpenAI Five aient perdu deux matchs contre des équipes professionnelles lors de The International 2018, les bots ont réussi à battre une équipe de champions du monde lors d’un match en temps réel en 2019. Par la suite, Brockman a déclaré que de nombreux joueurs professionnels avaient adopté le style de jeu plus agressif des bots, privilégiant les gains à court terme lors de matchs avec des durées de jeu fixes.
De 2018 à 2021, Brockman a participé à la création d’une série de modèles de langage génératifs appelés « generative pre-training » (GPT). Ces modèles utilisent l’apprentissage profond pour traduire, résumer des passages et produire des textes similaires à ceux rédigés par des humains. En juillet 2021, OpenAI a publié Codex, un modèle génératif pour la programmation. Basé sur le moteur linguistique GPT-3 d’OpenAI, le modèle peut programmer automatiquement des pages web, des applications et des jeux simples. Lors de la démonstration de Codex, Brockman déclare que le modèle visait à simplifier la tâche de programmation pour les programmeurs en leur permettant de se concentrer davantage sur « avoir une vision et la diviser en parties, puis créer réellement du code ».
Brockman est un business angel actif. il a investi dans plus de 20 startups, dont un outil de recherche inter-applications développé par Command E, ainsi que des robots de livraison pour Grubhub | Eat24.
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Sam Altman, fondateur d’OpenAI, Greg Brockman, le CTO d’Open AI, et Ilya Sutskever, chef scientifique de la startup, ont ensemble rédigé un texte sur l’avenir de l’intelligence artificielle dite superintelligente. Ils prévoient qu’au cours de la prochaine décennie, l’IA surpassera les compétences expertes dans la majorité des domaines et aura une productivité inégalée. Toutefois ils soulignent que le potentiel de la superintelligence, tant en termes de bénéfices que de risques, est comparable à celui d’autres technologies auxquelles l’humanité a dû faire face par le passé, comme l’énergie nucléaire et la biologie synthétique.
Conscients des défis que pose l’IA superintelligente, Altman, Brockman et Sutskever plaident pour une gestion proactive des risques et une réglementation ciselée. Selon eux, il est crucial de ne pas simplement réagir aux dangers potentiels, mais de les anticiper, comme nous l’avons fait pour le nucléaire et la biologie synthétique. Ils insistent sur le fait que si nous devons atténuer les risques de l’IA actuelle, la superintelligence nécessitera une approche spéciale et une coordination accrue entre pay.
Dans cette perspective, les auteurs proposent trois principes fondamentaux pour réguler efficacement la superintelligence. Tout d’abord, ils préconisent une coordination parmi les principaux efforts de développement. Ensuite, ils appellent à la création d’une autorité internationale similaire à l’Agence internationale de l’énergie atomique pour superviser les projets liés à la superintelligence. Enfin, ils soulignent la nécessité d’acquérir la capacité technique de rendre la superintelligence sûre, une question de recherche encore ouverte.
Altman, Brockman et Sutskever défendent l’idée que les entreprises et les projets open-source devraient pouvoir développer des modèles d’IA de moindre capacité sans subir une régulation trop lourde. Ils reconnaissent que ces systèmes peuvent apporter une valeur immense au monde tout en présentant des risques qui sont, selon eux, comparables à ceux d’autres technologies Internet. La distinction entre les différentes formes d’IA est de leur point de vue fondamentale
Ils insistent sur le rôle crucial de la surveillance publique dans la gouvernance des systèmes d’IA les plus puissants. Altman, Brockman et Sutskever estiment que les décisions concernant le déploiement de ces systèmes devraient être soumises à un contrôle public rigoureux et que les citoyens du monde entier devraient être en mesure de décider démocratiquement des limites et des paramètres par défaut des systèmes d’IA.
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Une IA super intelligente, également connue sous le nom d’intelligence artificielle générale (IAG) ou d’intelligence artificielle forte, fait référence à une forme hypothétique d’intelligence artificielle qui posséderait une capacité intellectuelle équivalente ou supérieure à celle d’un être humain dans pratiquement tous les domaines cognitifs.
Une IA super intelligente serait capable de comprendre, d’apprendre, de résoudre des problèmes complexes et de s’adapter à de nouvelles situations de manière autonome. Elle serait dotée d’une compréhension avancée du langage naturel, de la perception sensorielle, de la prise de décision, de la créativité et de la conscience de soi.
Contrairement aux systèmes d’intelligence artificielle actuels qui sont conçus pour des tâches spécifiques et limitées, une IA super intelligente serait polyvalente et capable de généraliser ses connaissances et ses compétences d’un domaine à un autre. Elle serait également capable d’apprendre de manière autonome, de s’améliorer progressivement et de résoudre des problèmes complexes de manière inédite.
L’idée d’une IA super intelligente soulève des questions et des débats importants concernant l’éthique, la sécurité et l’impact sociétal. Certains experts et chercheurs mettent en avant les risques potentiels associés à la création d’une IA super intelligente, notamment en termes de contrôle, de prise de décision autonome et d’interaction avec les êtres humains.
Il est important de noter que, pour le moment, les capacités d’une IA super intelligente restent largement théoriques et que les avancées actuelles en matière d’intelligence artificielle se concentrent sur des systèmes spécialisés et des tâches spécifiques, plutôt que sur la création d’une intelligence générale équivalente à celle d’un être humain.
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